PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
Perspective de vaincre le VIH/SIDA en Mauritanie à l'horizon 2030 (responsable régional)
Nouakchott, Mauritanie (PANA) - Il est possible de vaincre l’épidémie du VIH/SIDA à l’horizon 2030 dans le contexte de la Mauritanie, en dépit de plusieurs défis, a affirmé mercredi soir au cours d’une conférence de presse, le directeur régional adjoint d’ONUSIDA pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, le Dr Léo Zekeng.
Le responsable régional d’ONUSIDA s’exprimait au terme d’une visite de près d’une semaine en Mauritanie qui s’est déroulée du dimanche 11 au mercredi 14 octobre et à l’occasion de laquelle il a eu des entretiens avec les autorités gouvernementales, les organisations de la société civile, les associations de personnes vivant avec le VIH/SIDA et les partenaires au développement.
L’optimisme du responsable régional d’ONUSIDA est justifié par "une volonté politique qui a conduit à une hausse constante des ressources internes consacrées à la lutte contre le VIH/SIDA, qui atteignent désormais annuellement 2 millions de dollars".
Il y a également une perspective de réorganisation du Secrétariat national de lutte contre le VIH/SIDA pour plus d’efficacité, conformément aux stratégies mondiales dans ce domaine basées sur la règle des trois (3) 90%, qui ciblent le traitement : c'est-à-dire 90% de dépistés, 90% de malades sous traitement et 90% de charge virale supprimée.
Le responsable régional d’ONUSIDA juge également "positive" la non stigmatisation des malades.
En Mauritanie, signale-t-on, le taux de prévalence officiel du VIH/SIDA se situe à 0,4%.
Toutefois, dans certains groupes vulnérables et reconnus à risques, la prévalence monte jusqu’à 7%.
2200 malades du VIH/SIDA sont actuellement pris en charge par un Centre de traitement ambulatoire (CTA).
Avec 420.000 nouvelles infections et 320.000 victimes chaque année, le VIH/SIDA reste un véritable problème de santé publique en Afrique.
Implanté à Dakar, le bureau régional d’ONUSIDA en Afrique de l’Ouest et du Centre couvre 25 pays.
-0- PANA SAS/TBM/SOC 14oct2015
Le responsable régional d’ONUSIDA s’exprimait au terme d’une visite de près d’une semaine en Mauritanie qui s’est déroulée du dimanche 11 au mercredi 14 octobre et à l’occasion de laquelle il a eu des entretiens avec les autorités gouvernementales, les organisations de la société civile, les associations de personnes vivant avec le VIH/SIDA et les partenaires au développement.
L’optimisme du responsable régional d’ONUSIDA est justifié par "une volonté politique qui a conduit à une hausse constante des ressources internes consacrées à la lutte contre le VIH/SIDA, qui atteignent désormais annuellement 2 millions de dollars".
Il y a également une perspective de réorganisation du Secrétariat national de lutte contre le VIH/SIDA pour plus d’efficacité, conformément aux stratégies mondiales dans ce domaine basées sur la règle des trois (3) 90%, qui ciblent le traitement : c'est-à-dire 90% de dépistés, 90% de malades sous traitement et 90% de charge virale supprimée.
Le responsable régional d’ONUSIDA juge également "positive" la non stigmatisation des malades.
En Mauritanie, signale-t-on, le taux de prévalence officiel du VIH/SIDA se situe à 0,4%.
Toutefois, dans certains groupes vulnérables et reconnus à risques, la prévalence monte jusqu’à 7%.
2200 malades du VIH/SIDA sont actuellement pris en charge par un Centre de traitement ambulatoire (CTA).
Avec 420.000 nouvelles infections et 320.000 victimes chaque année, le VIH/SIDA reste un véritable problème de santé publique en Afrique.
Implanté à Dakar, le bureau régional d’ONUSIDA en Afrique de l’Ouest et du Centre couvre 25 pays.
-0- PANA SAS/TBM/SOC 14oct2015